Les petits favoris du personnel de l'établissement, parce qu'ils sont généralement ceux qui ont le moins besoin d'être encadrés. À la différence des Originels, leur panel de dons tourne autour d'un domaine assez précis, toutes leurs capacités sont en rapport avec le psychique, le mental, appelez ça comme vous voulez. Cela peut aller de la télépathie à la télékinésie en passant par les rêves prémonitoires, ils ont de très nombreuses cartes en main et ce notamment car ils n'hésitent pas à s'allier les uns les autres lorsque quelqu'un leur cherche des noises. Les individus qui composent ce groupe sont appréciés d'un peu tout le monde, ils sont matures, plutôt calmes et dignes de confiance, mais ce n'est pas pour autant que l'on peut leur manquer de respect, il est même à vrai dire assez déconseillé de chercher à leur porter préjudice. Même s'ils ont l'air comme ça d'être d'une patience sans faille, ils sont assez rapides à s'énerver et ont une sorte de manie de toujours s'associer afin de s'assurer qu'on leur fiche la paix pendant un moment par la suite. Et puis même s'ils bafouent rarement l'autorité, ils prennent tout de même un certain plaisir à filer un petit coup de main aux Originels lorsque ces derniers décident de mettre un peu d'ambiance. Au niveau des liens avec les autres groupes, ils s'entendent bien avec l'élite, avec les Corporels (mais ils les trouvent bien agités quand même), avec les Entités, avec les Guides, en gros avec tout le monde. Sauf avec les deux Perturbations, parce qu'entre les Pensées et ces deux-là, ça vire troutes les semaines à la guerre nucléaire ouverte.

• Le pouvoir de Surany s'est manifesté dès qu'il a su utiliser les mots, il s'en est au début servit inconsciamment pour imposer des demandes mineures à ses parents. Ces derniers s'en sont très vite rendus compte et n'ont jamais cherché à réfréner cette capacité, ils l'ont plutôt encouragé à la perfectionner.

• Sa grande soeur, Gabriella, possédait elle aussi un don, mais dont la seule offre était de provoquer des séismes d'envergure variable. Elle le cacha à ses parents ainsi qu'à son frère, emprisonnant cette force en elle-même. Malheureusement, son corps ne pu contenir cette puissance et la détruisit petit à petit de l'intérieur, elle garda cette douleur pour elle pendant plusieurs années. Sa mort fut brutale, elle avait seize ans. Surany fut anéanti par cette perte.

• Ses parents l'envoyèrent à Haze Island dans le but d'éviter à leur fils de subir une mort aussi atroce. Il eut longtemps peur de son pouvoir et de l'utilisa pas pendant plus d'un an.

• A présent, son objectif est de pouvoir atteindre les hautes sphères politiques en prévision du jour où les mutants deviendront visibles au grand jour. Son rêve est que tous puissent user de leurs pouvoirs sans crainte de représailles, afin d'éviter que de tels évenements, semblables au décès de sa soeur, n'arrivent encore.

▬ Tsubaki Hiwa (prédèf) • Une sale gosse parmis tant d'autres, sauf qu'elle est encore plus collante. Il ne sait pas pourquoi elle l'a remarqué, ce dont il est sûr, c'est qu'il s'en serait bien passé ! Elle l'accoste de temps en temps, le suit partout pendant plusieurs heures, tente de l'énerver par tous les moyens possibles, et elle l'oblige souvent à se détourner de son but afin de trouver un truc suffisamment méchant à lui dire pour qu'elle le lâche. Il ne la supporte pas mais refuse de s'abaisser à la fuir, manquerait plus que ça !

▬ Charlie Papillon (prédèf) • Plus qu'une personne à utiliser, Chacha est l'une des privilégiées à qui il a accordé son amitié. Il n'y a pas de raison particulière à l'affection qu'il ressent pour elle, c'est juste qu'il se sent proche, peut-être parce qu'ils ont tous les deux eut des pertes à affronter. Il passe pas mal de temps avec elle, elle vient souvent l'observer lorsqu'il se torture les méninges sur des échecs et lui exprime souvent son avis sur les rôles de la jeune fille. Il lui arrive même parfois de ressentir l'instinct de protection qu'aurait un grand frère à l'égard de Charlie.

• La vie d'Anké est un grand mystère jusque l'année approximative de ses treize ans, un beau jour qu'elle s'est réveillée dans un hôpital israélien, un trauma crânien dans la tête et un grand vide dans la mémoire. Personne n'est jamais venu la réclamer et c'est le directeur du centre qui l'a prise sous son aile.

• Grand scientifique, c'est son père qui s'est chargé de tout lui apprendre. Il lui a toujours laissé une grande liberté et l'a poussée à défendre ses idées et à vouloir voir le monde.

• Elle a eut conscience de son pouvoir presque depuis le début, mais elle s'en est toujours méfiée. Elle a rencontré Jude Willows par hasard (enfin c'est ce qu'elle a cru au départ) et s'est liée d'amitié avec lui en quelques semaines, jusqu'à ce qu'il lui avoue qu'il était venu en Israël dans l'intention de la voir et de la ramener avec lui. Elle l'a suivi parce qu'elle l'aimait bien et parce qu'elle était curieuse de voir cette école dont il lui a parlé.

▬ Jude Willows (pas prédèf) • Autrefois, ils étaient très bons amis, aujourd'hui, elle ne saurait pas trop mettre un nom sur leur relation, ça oscille entre juste une très grande affection et un amour compliqué. Ils ne sont pas dans la même classe, n'ont pas le même type de pouvoir, mais travaillent ensemble et passent beaucoup de temps tous les deux. Elle lui reproche son coté flegmatique, lui grogne parce qu'elle est trop sérieuse, mais au final ils rigolent bien et font du bon boulot ensemble. Elle ne sait précisément ce qu'elle ressent pour lui mais aimerait être éclairée sur le sujet, même si lui semble être pour l'heure décidé à fuir cette conversation.

▬ Raphaël Azzia (prédèf) • Une sorte d'ami avec lequel elle n'a jamais eut besoin de mot pour lui faire comprendre qu'elle aimait bien être avec lui. Elle l'a toujours approché sans à priori et n'a jamais été plus loin que les politesses habituelles, elle suppose que c'est un peu pour ça aussi que lui reste avec elle lorsqu'ils se croisent. Elle serait curieuse de voir ce qu'ils se diraient si l'un d'eux prenait la parole mais elle n'a pas envie de s'en occuper, elle préfère lui laisser ce plaisir.